L'île du diable
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 Into the darkness - Kuraki Ryoshiki

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Park Jung Su
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Park Jung Su

Arrivé sur l'île le : 24/02/2015
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MessageSujet: Into the darkness - Kuraki Ryoshiki   Into the darkness - Kuraki Ryoshiki EmptyMer 4 Mar - 20:02

Into the darkness
Kuraki Ryoshiki


Une journée bien fatigante. J’avais passé la majorité de mon temps à la salle de sport, me baigner sur la plage, explorer les environs, faire de la plongé également. Une belle journée en somme, mais qui n’avait pas tardé à tourner en quart de tour à la fin de la journée, aux alentour de quatre heure de l’après-midi. J’étais retourné à l’hôtel, j’avais besoin de me relaxer de prendre un bon bain chaud, car mine de rien l’eau chaude est vraiment bon pour la peau, ça permettait de relaxer les muscles et tous les membres du corps, certes il faisait déjà assez bien chaud, mais en fin d’après-midi, lorsque le soleil brûlait moins fort dans le ciel, et dans une chambre où la climatisation était juste parfaite, cela était bon.

J’avais donc décidé de regagner ma chambre, mais fus stoppé dans mon élan avant même que je n’eu le temps d’atteindre l’ascenseur. Une jeune femme blonde qui devait environ avoir mon âge s’était précipitée dans ma direction, un sourire radieux aux lèvres, elle m’avait demandé si les massages huileux dans un spa m’intéressé. Premièrement je l’avais dévisageais d’un drôle d’air, elle pouvait bien faire partit du staff, je me fichais complètement, elle s’était limite jetée sur moi pour me présenter son offre qui, d’ailleurs  ne m’intéressait pas du tout. Je n’aimais qu’on me touche, alors imaginer que les mains d’une femme caresse mon corps avec de l’huile, et le parcourt en massant chaque recoin, qui est censé me faire sentir bien, non merci. Je n’essayais même pas d’imaginer d’ailleurs. Je n’avais pas eu le temps de lui répondre quoi que ce soit, qu’elle me tendait déjà un papier cartonné sur lequel étaient inscrites toutes les informations nécessaire à cette offre gratuite, offerte par la maison.

Je grimaçais, laissant comprendre que je n’étais certainement pas intéressé, et elle le comprit sur le champ, mais n’avait pas désespéré et continua dans ses explications, tentant de me faire réellement comprendre que cela ne pourrait me faire que du bien. Je n’étais pas convaincu, enfin je savais qu’en général ce genre de truc avait un impact positif, mais je n’étais pas convaincu du résultat attendu sur moi. Si elle tenait à me voir tourner au quart de tour alors soit, mais je n’avais pas envie de m’énerver. Je lui avais fait clairement comprendre une bonne fois pour toute que son offre ne m’intéressait pas, bien qu’alléchante, même si c’était complètement faux.

Plus tard dans la soirée, je décidais aux alentours de vingt-trois heures de me rendre sur la plage, vagabondé comme ça, histoire de prendre l’air frais du soir, des vagues, et puis personne ne traînait sur la plage à cette heure-ci donc cela était encore mieux, pour moi, bien sûre. Vêtu de vêtements légers je longeais donc les chemins, me dirigeant silencieusement dans la pénombre, m’enfonçant de plus en plus dans ce décor sombre. Il faisait légèrement froid, un petit vent glacial émanant des fortes vagues qui battaient encore de leur plein. Je me rapprochais, du bord de l’eau pieds nus, après m’être déchaussé. Je laissais tremper mes pieds dans cette eau un peu trop froide à mon goût, laissant parcourir la tiédeur partout dans mon corps, jusqu’à atteindre mon cerveau. À ce moment je faisais défiler les images de mon passé, ceux qui appartenait à ce moi joyeux, vivant, croquant la vie à pleine dent. Plus jamais je ne pourrai de nouveau vivre comme je l’avais vécu. Je fermais les yeux, toujours les pieds sous l’eau, j’avais la sensation de m’enfoncer dans le sable. Et puis, étrangement, une légère et petite larme coula le long de ma joue. Je l’essuyais d’un trait de ma main, cela avait bien longtemps que je n’avais pas pleuré, pas depuis ce fameux soir, mais pourquoi est ce que je pleurais au juste ? Cela ne servait à rien de rassasier le passé, je devais tourner la page et accepter le présent tel qu’il est aujourd’hui.

Plus je réfléchissais, plus je me perdais dans mes pensées. Mais ce fut à cet instant que je sentais quelque chose se rapprochait, quelque chose au loin qui semblait sortir des profondeurs de l’obscurité. J’ouvris les yeux, fixant au loin cette ombre qui semblait se rapprocher de plus en plus vite, un point, une silhouette,  une ombre, puis une forme humaine. Elle me fixait. Cela me fit rappeler de suite ce rêve étrange que j’avais fait le premier soir où j’étais arrivé sur l’île, ce cauchemar, cette femme aux longs cheveux noir ébène, vêtue de blanc. Est-ce-que finalement elle existait ? Je ne bronchais pas, restant calme, attendant de voir plus près qui cela pouvait être.




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MessageSujet: Re: Into the darkness - Kuraki Ryoshiki   Into the darkness - Kuraki Ryoshiki EmptyMer 4 Mar - 22:46


 

Into the darkness

Avec Park Jung Su


Ryoshiki effectuait son tour de garde pour qu'aucun touriste ou condamnés ne découvre les actes, ou les lieux de résidence ou même les membres de la secte. Tout devait être caché et surtout le rester. C'est à ça, que servait les gardiens, protéger le secret... Le brun vagabondait dans la forêt, il devait d'abord surveiller les environs. Rien à signaler à part les animaux sauvages, ce qui n'arrangeait pas Ryoshiki. Ce dernier ne craignait pas ce genre de chose loin de là, non en réalité il en avait plus qu'assez d'avoir à les repousser loin de la zone qui appartient à la secte. Mais cela fait partie de son rôle ainsi que garder les touristes le plus loin possible. La partie sauvage les dissuadant déjà. Mais le gardien trouvait cela ennuyeux d'éloigner des touristes sans les blesser ou s'amuser... Au moins avec les condamnés il pouvait un peu jouer avec eux. Le jeune homme alla jusqu'à la plage. La nuit elle était sombre mais surtout vide, la plage était magnifique la nuit, les vagues emportant la lumière argentée de la lune sur le rivage accompagné d'écume. Le vent et l'agitation de la mer étaient les seuls sons audibles. Ça manquait de rouge et de cris, des hurlements qui vous fendent l'âme ou des sanglots. C'est ce que Ryoshiki entendait sans cesse, lui n'était pas vraiment fou et n'aimait pas nécessairement cela au contraire, cependant il aimait se sentir puissant et surtout être craint. 

Ryoshiki est devenu, avec le temps, quelqu'un d'insensible enfin presque. Le gardien est un homme fort et voudrait de temps à autre avoir plus de liberté. Il restait un homme et avait besoin de liberté mais aussi de vivre et cette place lui offrait l'opportunité de vivre avec le risque, des aventures et surtout de la fortune. Pour l'instant pas vraiment mais lorsqu'il le pourra Ryoshiki prendra le large. Après s'être légèrement égaré dans ses pensées, le jeune homme se remit à marcher, laissant ses empreintes de pas dans le sable. Le gardien s'avança et au loin une ombre au bord de l'eau. Peut-être une proie qui pourrait le contenter pour ce soir. Le brun s'avança et ses yeux habituaient à l'obscurité. Il s'avança alors doucement de manière sûre mais discrète. Cependant la cible se retourna et Ryoshiki s'arrêta alors pour mieux détaillé qui était cet individu. Rapidement le gardien détermina cet individu comme étant un condamné, grâce au bracelet qui leur permettait d'accéder gratuitement aux activités. Cela facilite la tâche pour les membres de la secte. Mais ils devaient garder le secret. 

Le gardien eut un sourire en coin, après s'être léché les lèvres avec appétit. Le brun s'avança lentement de sa proie. Il avait très envie de s'amuser avec une de ses proies, cela tombait donc très bien. Une fois à sa hauteur le gradient se pencha à son oreille. "Bonsoir je me nomme Ryoshiki. Comment t'appelles-tu ?" Susurra le jeune homme d'une voix envoûtante. Le gardien passa alors ses mains sur ses épaules et le regarda avec un sourire aux lèvres caché par son foulard. D'une main qu'il glissa délicatement dans sa poche, il sortit un couteau papillon qu'il déplia sous les yeux de sa victime. L'homme n'était pas fou mais on pouvait par moments le penser, surtout lorsque son taux d'alcool dans le sang était élevé. "On va passer un peu de temps toi et moi." Ryoshiki attrapa l'homme par les poignets le plaquant dans le sable. Le gardien avait énormément de force et il était assez dur de rivaliser avec lui mieux valait être prudent. De la lame de son couteau il effleura ou cément le torse de sa victime sans jamais appuyer. Ryoshiki souriait et il vint de nouveau se placer à l'oreille du jeune étudiant. "Tu es conscient que tu n'as vraiment pas de chance ?" Susurra une nouvelle fois le brun. Il fit alors descendre le couteau jusqu'au ventre du jeune homme. Il était en très mauvaise posture et Ryoshiki aimait cela. 

Le gardien adoré avoir le dessus surtout sur ce genre de personne. Le jeune homme qui se trouvait au sol était beau et avait l'air d'avoir un peu de répondant. Le brun rigola un peu. "Tu es beau je me demande ce que je vais bien te faire." Murmura le gardien. Il voulait lui faire des entailles. Pour se défouler et relâcher ses nerfs ou le frapper ou encore se satisfaire. Quoi qu'il en soit le jeune homme n'imaginait même pas dans quoi il venait de s'embarquer. Une lente descente aux enfers l'attendait et Ryoshiki avait hâte de l'y conduire... 

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MessageSujet: Re: Into the darkness - Kuraki Ryoshiki   Into the darkness - Kuraki Ryoshiki EmptyJeu 5 Mar - 0:29

Into the darkness
Kuraki Ryoshiki


La forme humaine s’approcha en vitesse en ma direction, venant se coller presque à mon visage, je pouvais clairement voir qui il était ou elle. À le voir comme ça on pouvait difficilement savoir si c’était une femme ou bien, un homme, et avec la pénombre cela n’arrangeait rien, mais je devinais toutefois que c’était un homme, du à sa robustesse ainsi qu’à ses traits accentués sur son visage. Néanmoins je ne pouvais apercevoir clairement son visage, car, dissimulé derrière un foulard qui recouvrait la moitié de son visage, il avait seulement laissé apercevoir ses yeux, contournés d’un magnifique maquillage noir, bien foncé, dessiné, accentué, comme si presque cela n’était pas qu’un simple masque, comme si cela faisait réellement partit de son identité.  Ses cheveux d’un noir ébène, étaient remontés sur le haut de son crâne, lui donnant un air de bad boy, quant à son visage, il était encore plus blanc que les draps sur lesquels je dormais chaque soir. Sa peau livide et ce regard ténébreux et sombre me glaça sur place le sang. Il m’observait avec envie, comme s’il venait de trouver là son dîner. Je levais les sourcils et déglutis, une fois, puis deux, il se rapprochait de plus en plus et finit par se pencher au dessus de mes épaules et me susurra quelques mots à l’oreille. Je n’y avais pas vraiment fait attention, à vrai dire son regard sombre continuait de me hanter l’esprit, je repensais à la manière dont il m’avait dévisageais. Je ne bougeais plus, comme pétrifié. Je n’avais jamais vu de ma vie ce genre d’individu, c’était la première fois que je rencontrais un type à l’allure aussi louche que son comportement. C’était qui lui ? Un détraqué qui venait de sortir de l’asile des fous ? Il m’en donnait tout l’air en tout cas. Que suis-je censé faire dans ce genre de situation ? M’enfuir, hurler, me battre, le supplier de m’épargner ? Je suis sure qu’il me rattraperait en un rien de temps, hurler serait ridicule, car personne n’était dans les parages, je crierai en vain, me battre, pourquoi pas, mais vu la carrure de ce type et sa vision de penser les choses je suis sure qu’une erreur de ma part me serait fatale, le supplier de m’épargner, me semblais la solution la plus adaptée, mais mon petit doigt me disait que ça ne l’exciterait que plus de me voir à genoux. Non, je devais me ressaisir, et essayer de garder mon calme, je ne devais en aucun cas lui montrer que je le craignais. Facile à dire mais difficile à faire, n’est ce pas ? Je tentais tout de même de me contrôler.

Finalement je n’eu à peine le temps de lui répondre quoi que ce soit, qu’il avait déposé ses deux mains au dessus de mes épaules, il devenait de plus en plus étrange, il me donnait réellement la sensation qu’il allait me sauter dessus et savourer chaque partie de mon corps. Je voulus m’enfuir et songeais réellement à le faire dans les secondes qui allaient suivre, mais eu-je une fois de plus le temps d’agir qu’il m’attrapa fougueusement et déclina un couteau papillon, que je devinais avait été caché sous son accoutrement bizarre. Lâche, avais-je envie de lui hurler dessus, effectivement il n’y avait pas plus lâche que d’attaquer une personne avec une arme, s’il était réellement un homme, il ne se servirait que de ses poings, mais apparemment ce n’était pas le cas.  Il s’adressa de nouveau à moi en me disant que nous allions passer un peu plus de temps ensemble, sans blague, comme si je ne m’y attendais pas. Je faisais bien le malin silencieusement, mais en réalité la frayeur et la crainte de deviner ce qui allait m’attendre s’empara de tout mon corps. Il attrapa fermement mes frêles poignets, puis me fit tomber avec violence sur le sable, me bloquant à terre, toute son étreinte bloquant la mienne, je ne pouvais définitivement plus bougeais sous sa robustesse. Si je voulais hurler, c’était le moment idéal, mais je finis vite par ravaler ma langue lorsque je vis suspendre son couteau au dessus de moi, au dessus de mon torse. Il effleurait cette partie de mon corps, dessinant avec légèreté des cercles tout en descendant la lame plus bas. Il souriait, comme un malade satisfait du résultat accompli. Il se pencha de nouveau, et une fois de plus me susurra à l’oreille  que j’étais en danger. Je déglutis. Il continuait sa tracé, effleurant à présent mon ventre. Il se mit à ricaner seul, dans l’obscurité, comme s’il savait exactement ce qu’il allait faire de moi, je pouvais le lire dans son regard et le devinais rien qu’à ce rire vicieux. Et j’eu bien raison, à l’instant ses dires venaient de confirmer mes craintes. Je voyais venir le genre de type vicieux, complètement attardé, qui aimait les trucs étranges comme le sadomasochisme. Horrible, je m’enlevais ces idées de suite de ma tête, secouant ma tête de gauche à droite. Sérieusement ? Je n’espérais pas qu’il était de ce genre de taré. Je n’avais pas envie d’y songeais et tardé à penser à autre chose, trouver une solution pour m’enfuir, la survie était mon unique objectif. J’avais bien envie de lui cracher en plein dans la figure, lui donner un coup entre les jambes et m’enfuir en courant. Et si je tentais ? Je ne perdais rien à essayer, et comme on disait, qui ne tente rien n’a rien. Je n’avais pas le temps de réfléchir, il ne m’en laissa pas le temps, je ne voulais pas retrouver mort sur cette plage. Je décidais donc de tenter le coup. Je jetais un léger coup d’œil en sa direction, il était totalement focalisé sur ce couteau avec lequel il jouait à dessiner des cercles sur mon ventre, c’était l’occasion parfaite. Je rassemblais tout mon courage en main, inspirais un bon coup, je pouvais sentir mon cœur s’accélérait et battre de plein fouet, mes mains devenues moites commençaient légèrement à trembler, j’étais prêt. Je rassemblais le plus vite que possible tout le reste de ma salive avant que ma gorge ne s’assèche du à la peur, formant un gros crachat, puis lorsque ce fut prêt, je m’adressais à lui sèchement.

« Hey ! »

Il leva son visage en ma direction, oubliant totalement son occupation. Son visage bien visible, parfaitement centré dans mon champ de vision, je lui crachais en plein dans la figure, ciblant ses yeux, afin que cela ne l’aveugle pendant un court instant. Cible atteinte, et c’est à présent que je lui donnais un gros coup de genou en plein dans l’entre jambe, le plus fort que possible, du mieux que je pouvais. À attendre le cri plus ou moins perçant qui en émanait de sa bouche, j’avais visé comme il le fallait. Il se détacha de mon étreinte et par la même occasion j’en profitais pour lui donner un coup de poing en plein dans sa mâchoire, ainsi qu’un coup de tête. Je devais certainement avoir maintenant une grosse marque rouge en plein milieu du front, mais je m’en foutais, la douleur pouvait attendre, il me fallait d’abord me sortir de ce merdi***. À présent libéré totalement de son étreinte, je le repoussais en arrière, le faisant tomber sur le sable, prit son couteau dans la filée et le lança le plus loin que possible dans l’eau. Je partis ensuite en courant le plus vite que possible, tentant de regagner les habitations.




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MessageSujet: Re: Into the darkness - Kuraki Ryoshiki   Into the darkness - Kuraki Ryoshiki EmptySam 14 Mar - 23:48
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Into the darkness

Avec Park Jung Su


La nuit était synonyme de danger sur cette île, désormais voilà le bel inconnu avertit. Ryoshiki n'était pas fou malgré ses actes, tout était réfléchi et calculé, le seul problème c'est lorsque la situation échappe à son contrôle et ce soir, à son insu, cela allait être le cas. Même si ses actes sembles lâches et surtout affreux, il n'en est rien, souvent le tueur laisse ses victimes indemnes, si ces dernières ne lui donnent pas trop de fil à retordre. Son couteau ne servait qu'à intimider le jeune homme ce qui sembla marcher, il voulait le mettre dans une situation d'agression et une situation effrayante pour mesurer ses réactions et il allait vite être fixé. C'est pourquoi il n'utilise qu'un couteau et pas son katana ou autres armes blanches ou à feu. À quoi cela servirait de le tuer ? Ce serait tout simplement idiot. Le brun n'avait rien d'un fou, d'un attardé ou encore moins d'un idiot, mais habitué à jouer des rôles il ne se révèle jamais tout de suite. Là encore il se crée un personnage psychopathe et exécute ce rôle à la perfection. Le brun pouvait être dangereux mais seulement quand il en avait décidé et là ce n'était pas encore le moment. Si cela devenait nécessaire il prendrait des mesures comme à chaque fois.

Cependant, l'inconnu le tira de toute réflexion en l'interpellant. Ryoshiki leva ses yeux sang vers lui accompagné d'un haussement de sourcils. Le brun n'était pas dupe, il se doutait de la peur du plus jeune et cette réaction était peu commune. Le jeune homme cracha alors en plein dans les yeux du tueur. Dégoûtant pensa ce dernier en s'essuyant d'une main. Mais le jeune homme revint à la charge frappant avec force dans l'entre jambes du brun qui fronça les sourcils, ferma les yeux encaissa le coup en poussant un grognement de douleur assez sonore. Que faut-il faire pour ne pas avoir mal quand quelqu'un frappe à cet endroit ? Ryoshiki se surprit à penser qu'il devait plus se muscler à ce niveau-là. D'un: c'était impossible, de deux: cela ne servirait strictement à rien... Il se trouva idiot mais ça aurait bien fait rire ses amis s'il avait osé le dire devant eux. Ou encore mieux se protéger ? Vraiment c'était inutile autant encaisser. Puis l'individu frappa la mâchoire et donna un coup de tête violent avant de jeter Ryoshiki à terre qui encaissa les yeux fermés et crispés dû à la douleur, quelques grognements de douleurs filtrèrent alors sa bouche...

Le jeune homme se redressa sur les coudes et vit son couteau être jeté à l'eau suivit du bruit significatif indiquant que le couteau serait irrécupérable et commençait sa descente vers les abysses. De toute manière aucune importance c'était un test et il avait sa réponse, la peur poussait ce jeune homme à la violence. Plutôt utile mais pour le gardien ça serait un obstacle de plus... Qu'importe ça l'intéressait ce genre de réaction. Le jeune homme se mit à courir pour regagner les habitations et être en sécurité, mais il ne lui laisserait pas cette chance il voulait vraiment s'occuper d'un condamné ce soir, pour se défouler et s'amuser. Ryoshiki se mit à genoux dans le sable et se releva avec difficulté et cria en direction du jeune fuyard : "Je vais t'avoir sale anguille !" Puis le tueur se lança à sa poursuite, le laisser quitter la plage comme cela ? Alors ça pas question ! Le tueur accéléra pour traquer sa proie mais Jung su était rapide. Alors le brun prit un raccourci pour lui couper la route, utilisant l'avantage de connaître le terrain. Le gardien rattrapa alors sa proie en passant par la forêt tropicale qui bordait la plage, il coupa le chemin vers les hôtels pour empêcher sa proie de fuir. Cette fois, plus aucune issue pour le pauvre étudiant. Ryoshiki serra les dents et fronça les sourcils et lui attrapa la taille et fit un magnifique plaquage, avant de se redresser le tenant par le bras. "Tu vas me le payer je t'assure..." Le brun emmena sa proie plus loin, le forçant à le suivre.

Il sera plus difficile pour le jeune homme de fuir s'ils se trouvent loin de l'objectif de l'étudiant. Le tueur ne se cachait plus derrière son personnage et même si ce n'était pas encore tout à fait rassurant quelque chose dans son comportement avait changé. Il était plus assuré, plus rapide aussi et n'avait plus ce sourire malsain sur le visage, il était plus froid que de la glace. Le tueur lâcha sa proie avec violence envoyant le jeune homme à terre. Le brun se positionna alors au-dessus, il s'accroupit alors au-dessus de ses cuisses avant de lui envoyer son poing dans la mâchoire avec force puis le regarda dans les yeux. Le brun s'assit alors sur les cuisses du plus jeune. Puis au lieu du couteau ce sont désormais ses mains qui glissent sur le corps du jeune homme. "Tu m'as l'air fier et sûr de toi, je vais corriger cela ne t'en fait pas." D'autant qu'il n'y était pas allé de main morte, la douleur revenait doucement en Ryoshiki qui avait horreur d'encaisser les coups, ça avait le don de le mettre sur les nerfs. Il se sentait humilié et n'était pas vraiment un adepte de la douleur. Le tueur avait envie de se défouler ce soir mais il hésitait entre frapper sa victime et se battre contre lui pour se défouler ou le toucher et l'observer se débattre et lui faire perdre un peu de fierté. Le brun allait essayer et ce qui serait le plus efficace sera choisi. Mais vu sa violence le gardien se méfiait. Malgré les apparences Ryoshiki était quelqu'un de bien qui a été grandement corrompu et est devenu un monstre. Du moins c'est ainsi qu'il voit la chose. Pour lui la morale, la gentillesse et la compassion l'ont quitté et il n'était rien d'autre qu'un monstre...

Le gardien s'en fichait éperdument il y avait plus important. Le tueur frappa alors avec force sa victime à plusieurs reprises laissant ses bras libres pour qu'il puisse se défendre. Après avoir jaugé ses réactions, Ryoshiki passa à l'étape suivante. Ses mains glissèrent le long des bras de sa victime pour les placer au-dessus de sa tête et le maintenir à une main. Son autre main glissa alors jusqu'à son ventre refaisant les tracés du couteau. Une fois de plus le gardien le jaugeait. Peut-être le jeune homme s'en irait bientôt si Ryoshiki était lassé ou rappelé à l'ordre. Cela dépendait. Pour l'instant l'enfer attendait le pauvre Jung Su, rien ne pourrait le sortir de ce cauchemar. Le gardien devait protéger la secte, ce qu'il fait à sa manière. Mieux valait lui que la secte... Alors le brun retira son foulard et posa son doigt sur ses lèvres afin de lui demander d'être silencieux. Puis le brun alla à l'oreille du plus jeune. "Je te laisse une chance de t'en sortir indemne et sans trop de traumatisme, si tu acceptes ta défaite." Susurra-t-il à son oreille. C'est désormais à l'étudiant de faire son choix.



Dernière édition par Kuraki Ryoshiki le Mer 18 Mar - 14:12, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Into the darkness - Kuraki Ryoshiki   Into the darkness - Kuraki Ryoshiki EmptyMar 17 Mar - 23:52

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Je courais le plus vite que possible sans me retourner en arrière de crainte de le voir juste derrière moi. Cela semblait idiot mais avec l’obscurité et l’élan j’avais du mal à trouver mon chemin, à retourner vers l’hôtel. Il faut dire que je ne rencontrais pas souvent ce genre de situation, et encore moins en avais-je rencontrais ici, sur cette île. J’avais la sensation de courir au ralentit, ou bien ne pas avancer tout court, comme si l’île m’empêchait de regagner les habitations. Plus j’y pensais, plus une étrange sensation s’emparait petit à petit de mon être. Était-ce seulement une sensation, ou bien ? Il fallait bien évidement que je pense à cela dans ce genre de situation. C’était toujours comme ça, on prenait conscience du réel danger lorsque l’on se trouvait dans une situation des plus désagréables, mais jamais quand tout se passait pour le mieux.

Je gonflais mes poumons d’oxygène, d’air frais. Les battements de mon cœur se précipitaient à vive allure contre ma poitrine, la frappant de toute force. Mes yeux grands ouverts tentés de trouver un chemin parmi cette pénombre. Et même si je ne m’étais pas retourné je pouvais la sentir, sa présence, je supposais que c’était la sienne, qui d’autres à cette heure si tardive se baladait dans les environs, à part l’imbécile que je suis.

Finalement ce que je redoutais arriva à terme, sa présence se fit plus imposante et il réussit à me rattraper. À juger de sa rapidité alors qu’il était loin derrière moi, je devinais qu’il devait être un habitué des lieux, il devait certainement connaître l’île comme sa poche, pour avoir prit un raccourci. Il se plaça devant moi, me barrant complètement le chemin et à en juger les couleurs et l’expression qu’avait prit son visage, il n’était pas d’humeur à vouloir s’amuser et perdre surtout de son temps. Il me regarda d’un air noir, en colère, frustré par les coups que je lui avais porté. Il justifia même en jurant qu’il allait se venger. Il m’attrapa le poignet sans même que je n’eu le temps de m’en rendre compte, le serrant avec force afin que je puisse ressentir la douleur et ne pas me défaire de son étreinte, puis me força de le suivre à l’écart. Là où il serait sure que personne ne viendrait nous déranger.

Nous finissons par arriver là où il le souhaitait, il me fit tomber à terre avec une telle violence, que je n’eu pas le temps de me rattraper, m’affalant entièrement sur le sol, ma joue heurtant le par terre en premier. Il se rapprocha de moi, et je pus voir clairement qu’il était sur les rognes, totalement lassé par le retournement de la situation. Il semblait encore plus imposant et violent. Son regard suffisait pour me le faire comprendre. Eu-je à peine le temps de me relever, qu’il me bloqua à terre, cette fois-ci accroupit au dessus de moi. Il me porta un violent coup à la mâchoire que j’encaissais sans n’avoir rien pu faire. Mon visage porté par le coup s’était positionné sur le côté droit, j’en avais tout en même temps recraché du sang. Il me fixa de nouveau tout en s’asseyant sur mes cuisses comme si cela était naturel. Ses doigts glissèrent le long de mon torse, les faisant parcourir chaque recoin jusqu’à finir par descendre au niveau de mon ventre, encore une fois. Quel genre de mec était-il pour agir ainsi ? Qu’est ce qui lui traversait l’esprit pour vouloir se comporter de la sorte ? Avait-il des problèmes mentaux ? Ou bien ? Le sang mélangé à ma salive continuait à se former dans le fond de ma gorge, cela en devenait presque écœurant.  Il continuait de me frapper avec fougue sans jamais ne s’arrêter comme un coléreux qui n’avait pu obtenir ce qu’il voulait. Mes bras qui étonnement n’étaient pas sous son emprise, étaient libre, et je les avais placé au dessus de mon visage, n’ayant aucun contrôle de la situation. Je subissais silencieusement, bien que parfois on pouvait entendre mes cris de douleur, mon ventre se tortillait dans tous les sens du à l’horrible souffrance que me faisait subir le timbré en face de moi. Mon esprit ne pouvait se concentrer sur autre chose, à trouver une solution afin de me débattre, car mon corps entier était rué par ses coups sans gêne. J’espérais juste qu’il finisse par se lasser de mon inactivité. Et c’est ce qui arriva.

Il semblait essoufflé et s’était remis à dessiner des cercles sur mon ventre aussi naturellement que précédemment. Je le trouvais vraiment de plus en plus étrange. Son humeur avait changé du tout au tout. Il était passé du stade « fou furieux » à « peace and love », enfin façon de parler. Car, ses agissement en restaient tout aussi étranges.
Il finit par retirer le foulard qui cachait la moitié de son visage et se rapprocha de moi, se tenant à quelques centimètres de mon visage, il m’observait. Il posa son index sur ses lèvres, me faisant parfaitement comprendre de me taire. Comme si cela était une menace. Il se pencha finalement, venant coller ses lèvres presque à mon oreille en me promettant de ne pas trop s’acharner sur moi si je m’avouais vaincu.

Vaincu de quoi ? Je ne comprenais pas où il tentait d’en venir. S’attendait-il à ce que je reconnaisse qu’il avait prit le dessus, qu’il était beaucoup plus fort que moi ? Ou alors, que je me laisse faire par sa folie. S’il ne s’était pas assis sur mes cuisses et que j’avais eu la possibilité de lui en remettre un entre son entre-jambe, je lui aurai bien craché à la figure tout ce sang qui s’accumulait dans ma bouche, et s’intensifiait avec ma salive. Je restais silencieux pendant quelques secondes. Et avant que ces secondes ne se transforment en une minute je me décidais enfin à prendre la parole pour la première fois. Je finis par recracher le mélange au visage de mon interlocuteur une seconde fois. Le sang rouge vif avait dessiné des taches sur son visage pâle et blanc comme de la neige.

« Dans tous les cas je suis perdant. Pas vrai ? »

Osais-je lui dire en plongeant mon regard dans le fond de ses prunelles.


HORS RP:
Spoiler:


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MessageSujet: Re: Into the darkness - Kuraki Ryoshiki   Into the darkness - Kuraki Ryoshiki EmptyMer 20 Mai - 21:01
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Into the darkness

Avec Park Jung Su


Pour Ryoshiki cette soirée était devenue vraiment une partie de chasse. Seulement là le gibier était les condamnés. S'il pouvait il ferait sans hésiter ce qu'il avait envie, cependant il se devait de juste l'effrayer, marquer son esprit, l'empêcher de revenir près de la forêt et bien sûr le préparer pour la déesse de la violence. Bien que lui n'ait pas vraiment besoin de préparation la déesse consumait déjà son cœur... Baliverne c'est juste un homme qui se défend, Ryoshiki ne croit pas à toutes ces histoires et s'il reste dans la secte c'est uniquement parce que c'est nécessaire à sa survie et à son enrichissement. Il devait se cacher ici quelque temps et repartir en suite, mais le gourou ne le laisserait certainement pas comme cela, ceci crée d'ailleurs une situation délicate, le gourou était un peu comme le mentor de Ryoshiki ce qui explique une part de sa folie. Le reste n'est que comédie et destiner à déboussoler sa victime. Le ténébreux observa l'étudiant qui lui paraissait effrayé. Face à cela n'importe quel individu normalement constitué aurait eu peur, mais quelque chose intriguait Ryoshiki, le garçon gardait parfaitement son sang-froid. Malgré la peur l'étudiant pesait le pour et le contre de ses gestes. Mais cet état de calme le quitta bien vite et il demeura incapable de bouger ou protester. Le tueur regarda sa proie avec fierté, il avait réussi sa mission il ne s'approcherait plus de la secte mais désormais le brun voulait se défouler. Comme précédemment il voulait se battre mais s'il relâchait son souffre-douleur, ce dernier s'en irait aussitôt. Il n'en était pas question, d'un autre côté le brun n'avait qu'une envie: rentrer au quartier général, se changer et séduire une personne de la secte pour finir sa soirée comme les précédentes. Mais non, il devait s'occuper de l'étudiant. Ce dernier lui cracha d'ailleurs à la figure et la salive et le sang vinrent éclabousser son visage.

Le ténébreux ne broncha pas continua de fixer le plus jeune sans jamais ciller. Puis le plus jeune lui avoua enfin dans tous les cas il était perdu face au brun. Un léger sourire vint s'inscrire sur le visage du tueur, puis les yeux pénétrant de sa victime vinrent se plonger dans les siens. Ryoshiki cessa alors de lui sourire et le regarda avec son vrai visage, celui ni effrayant, ni fou, juste lui. Lui l'homme sombre et en même temps compatissant. Il savait ce qui attendait l'étudiant et tous les autres condamnés... Le tueur se savait faible dans ses moments, la pitié n'est bonne que pour les faibles, son visage devint plus fermé comme s'il refusait qu'on devine ses pensées. La pitié partit aussitôt qu'elle était venue mais elle laissa place à une autre faiblesse, la lucidité. Il ne voulait néanmoins pas lâcher le regard de Jung su. Alors il répondit de manière calme et détachée. "Tout dépend de toi. Je veux tout savoir ton nom, ton âge, tes craintes, à quel hôtel loges-tu, si tu as des proches sur cette île et si oui qui, ce genre de choses..." Le brun le regarda sérieusement, il devait soutirait ses informations mais le tueur avait de plus en plus de mal, il venait de sortir d'une mission épuisante et voilà que maintenant il devait s'occuper de lui avec force. Non ce soir Ryoshiki n'était pas d'humeur. Mais il devait être fort et jouer le jeu, alors il reprit un air inquiétant avec un léger sourire. "Ah oui dis-moi également, tu préfères les femmes ou les hommes ?" Demanda-t-il en descendant ses mains doucement.

Le tueur restait imperturbable, il finit par enfin regarder sa victime dans les yeux et se plonger dans son regard. Comment dire que cela était une corvée ? Le jeune homme était mignon, à sa merci et il avait le droit de faire ce qu'il voulait. S'il pensait que tout ceci était une corvée, c'était d'abord par fierté, puis par fatigue et enfin parce qu'il devait l'effrayer et le faire fuir et non sympathiser avec lui. Le brun s'apprêtait à descendre ses mains sur l'entre jambes du plus jeune mais s'arrêta pour lui saisir le cou. Il avait tellement envie qu'on arrête de jouer avec ses nerfs, ses missions commençaient à jouer sur son état psychologique, mental et physique. Même s'il restait le plus performant le brun en avait assez de tout ça... Il voulait de nouveau faire route seul mais sa nouvelle famille ne le laisserait pas repartir. S'il le pouvait Ryoshiki deviendrait Yakuza. Il ne pouvait abandonner la secte. L'étudiant en face de lui le perturbait comme toutes ses victimes en chacune d'elles, il retrouvait une part de lui. Le brun se pencha à l'oreille de Jung su. "Cependant je vais te laisser une chance de t'enfuir sans rien recevoir. Tu n'as qu'à répondre à toutes les questions que je t'ai posé et je te laisserais en paix."

Ryoshiki ne réfléchissait pas vraiment, il fonçait. Il lâcha enfin le cou de sa victime et posa ses mains sur le dessus de ses hanches pour le maintenir au sol. "Si tu ne réponds pas je ne vois absolument pas pourquoi je ne pourrais pas te violer alors que toi tu t'es permis de frapper à cet endroit. Car oui aussi étrange que cela puisse paraître j'en ai encore besoin." Le brun était souvent très sérieux mais quelquefois sans le vouloir ou s'en rendre compte il disait des choses insensées et incohérentes avec la situation... Des fois, ça fait rire. Le brun regarda le plus jeune dans les yeux ses mains remontant doucement sur les côtes de sa victime. "Tu sais ma patience a des limites..." Prévint le tueur en regardant plus intensément sa proie rapprochant son visage au plus près. Les mains du ténébreux redescendirent plus bas encore s'arrêtant sur le bas-ventre de Jung su. Ce dernier était certes dans une impasse mais avec Ryoshiki, il y a toujours des surprises. Le vent souffla plus fort faisant voleter les cheveux du brun et apportant du sable jusqu'à eux. Le tueur fixait sa proie avec envie et en même temps avec un air menaçant... Allez savoir ce qu'il a dans la tête.

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